DAM pour Atomic Content et Content Snacking

Réutilisation de contenus médias : pourquoi le DAM est votre meilleur allié ?

Pour gagner en visibilité sur le Web comme pour engager leurs audiences sur les réseaux sociaux, les entreprises ont recours au marketing de contenu. Images, vidéos, infographies, articles, podcasts… Une production variée et volumineuse qui s’impose et s’avère également gourmande en ressources financières et humaines. Comment améliorer le ROI de cette production ? Pour les responsables marketing, une partie de la réponse se trouve du côté des stratégies de réutilisation de ces contenus. L’idée n’est pas de republier tel quel une vidéo ou un jeu d’images, mais plutôt de recycler le contenu déjà publié sous une forme différente et sur un nouveau canal.

Comment réutiliser les contenus pour augmenter leur rendement ? En quoi le DAM (Digital Asset Management) aide-t-il dans cette démarche de réutilisation de contenu ? Zoom sur deux stratégies opposées mais complémentaires, le content snacking et l’atomic content, et sur la contribution du DAM à ces stratégies.

 

Le content snacking : ou comment redécouper vos contenus

 

Recycler est un terme à la mode aujourd’hui qui connaît de nombreuses applications, y compris pour les contenus. Et nous ne parlons pas seulement des textes, mais avant tout des contenus visuels (images, vidéos, assets rich media). L’acte de recycler un tel contenu – donc de lui donner plusieurs vies au-delà de sa forme et de sa plateforme de publication initiales – est devenu une discipline à part entière : le « content snacking ». L’art en quelque sorte de subdiviser un contenu initial en plusieurs contenus pour mieux l’exploiter dans la durée.

Prenons le cas d’une interview vidéo dont la préparation et la réalisation ont demandé du temps. Il est possible de la décliner sous différents formats : capsules vidéos, “teasing” de quelques secondes, “punchlines” marquantes, vidéos de l’envers du décor, réutilisation de l’audio sous forme de podcast, etc. Les possibilités ne manquent pas. Cette stratégie de micro contenus aide à viraliser les contenus « maîtres » en plusieurs formats, pour les faire vivre sur la durée et ainsi d’augmenter significativement leur ROI. 

En résumé, le snack content vise à décliner depuis un asset existant de multiples contenus qui apportent un traitement différent, plus ciblé et plus court. Le fait de diviser un même contenu en plusieurs “snacks”, ou “bouchées” en français, permet d’être présent sur davantage de médias et de canaux et donc de toucher une audience à la fois plus large et plus ciblée. De quoi notamment répondre aux besoins de diffusion sur les réseaux sociaux gourmands en formats variés (vidéos, stories, carrousels d’images…). 

Car oui, les réseaux sociaux sont le terrain de prédilection de ce type de contenus prévus pour être consommés rapidement – de nombreuses grandes entreprises ont d’ailleurs mis sur pieds des « content factory » internes pour produire ces « contenus de flux. » Et pour industrialiser leurs process, ces « factory » s’appuient sur des solutions telles que le DAM. Et pour cause : les fonctionnalités d’un DAM ne se limitent pas à celles d’une bibliothèque…

De la diffusion à l’indexation en passant par le chapitrage, le DAM offre une large palette de fonctionnalités pour capitaliser sur les contenus vidéos. Et parmi elles, les équipes d’une content factory trouvent toutes celles requises pour « snacker » des contenus visuels. Découpage d’une séquence vidéo, export dans des formats variés tel un gif animé, publication sur les réseaux sociaux…

 

L’atomic content ou comment se préparer à agréger des contenus

 

Pour réutiliser le contenu, le snacking content n’est pas le seul levier à disposition des équipes marketing. Désormais « l’atomic content » participe aussi aux bonnes pratiques de recyclage. Ce contenu dit “atomique”, c’est un contenu tout petit, prêt à être assemblé de façon dynamique à un autre contenu afin d’en créer un nouveau. C’est la démarche inverse de la stratégie de content snacking. Ici, on part d’une production de contenus de toute petite taille qui, en étant assemblés, génèrent un contenu plus consistant. 

La force de cette stratégie, en plus de réutiliser le contenu déjà existant, c’est de générer facilement un contenu personnalisé pour offrir une expérience sur mesure à l’internaute. On parle d’ailleurs “d’atomisation personnalisée”. Une notion forcément pertinente aux oreilles de tout marketeur soucieux de délivrer le bon message au bon moment à chaque persona.

Comment s’orchestre « l’atomic content » dans la pratique ? 

Admettons que nous disposions d’un stock de 2000 photos parmi lesquelles des photos d’ambiance et des photos de produit. En adoptant une stratégie d’atomisation, c’est-à-dire en identifiant, calibrant, puis en taguant chaque photo, nous donnons les moyens à une technologie générative (souvent une IA) de créer le lien entre deux images. Celles-ci vont être assemblées, pour générer un nouveau visuel. Si votre produit est une paire de lunettes rondes et que vous ciblez une audience de femmes urbaines, alors vous allez pouvoir générer un visuel montrant ces lunettes rondes dans un environnement urbain. 

L’image finale est assemblée à partir de contenus existants et prévus pour l’être.

L’atomisation ne vise pas seulement la réutilisation des contenus mais aussi la production de contenus personnalisés.

 

Le Digital Asset Management, un atout majeur pour la réutilisation des contenus

 

Complémentaire donc du Content Snacking, l’Atomic Content demande lui aussi un DAM pour s’inscrire dans une pratique productive. Car, là encore, toutes les fonctionnalités requises sont disponibles à travers cette solution: indexation et taguage des contenus en mode manuel ou via une génération automatique de mots-clés grâce à l’IA, édition et fusion d’assets (premier plan et arrière-plan), publications multi-formats…

Notons que l’indexation et le taguage des contenus sont ici des processus critiques. C’est avec eux que les visuels vont pouvoir être suffisamment bien documentés pour être ensuite identifiés le moment venu et réutilisés. C’est en s’appuyant sur ces métadonnées que le DAM sera capable d’associer les bons éléments. 

Avec des assets correctement indexés et préparés dans le DAM, générer un jeu d’images spécial Black Friday devient un processus largement automatisé. À partir de micro-contenus déjà créés et organisés, il est possible de remplacer en quelques clics toutes les images de produit d’un site de e-Commerce par des images brandées Black Friday.

Atomic Content ou Content Snacking, le DAM prouve un fois de plus qu’il est bien plus qu’un simple outil de gestion de contenus ; il contribue à construire une expérience engageante et personnalisée. Le Digital Asset Management aide les équipes marketing à optimiser le cycle de vie des contenus et industrialiser leur recyclage. 

Que vous optiez pour une approche « atomic » ou « snacking », le DAM sera au rendez-vous.



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